•Le maréchal ferrant est un artisan dont le métier consiste à ferrer les pieds
des chevaux, équidés et bovins et à s’occuper de leur parage.
Le ferrage des bovins de trait est aujourd’hui rarement pratiqué.
Le métier de maréchal ferrant est vieux de plus de 3000 ans mais n’est plus pratiqué que pour les équidés.
Le terme de « maréchal » provient d’un terme de l’ancien français qui désignait un domestique qui soignait les chevaux. Le mot a ensuite pris deux sens différents ; désignant l’artisan chargé de ferrer les chevaux ainsi que l’officier préposé aux soins des chevaux (ancêtre du vétérinaire). Le mot « maréchal-ferrant » a été créé pour distinguer ces deux métiers.
•Travail à ferrer, ou simplement travail (au pluriel « des travails »), du latin « Tripalium » : C’est un dispositif de contention très robuste (autrefois fixé dans le sol, de nos jours mobile) conçu pour maintenir de grands animaux (bovins), lors du ferrage, du parage des sabots ou des soins. Le maréchal-ferrant utilise le travail pour les bovins qui, à la différence des équidés, ne peuvent rester debout sur trois pattes. L’animal est entravé à l’aide d’un joug, de sangles et de ventrières. Cet équipement, témoin d’un mode de vie aujourd’hui disparu, est encore visible dans quelques localités rurales, où il est désigné sous différents noms selon les régions. Dans celle d’Angoulême, c’était le « tramail ». Dans celle de Grenoble, par exemple, on parle d’ « étrait » ou de « détré ». En Lozère, à Horac , le dispositif était nommé en occitan « ferrador »…
•Le dernier maréchal ferrant fut « Camille Soubrand », qui des outils, Il a continué à les réparer et a su s’adapter à la modernisation. dans sa forge située en face du « travail », fabriquait des outils, et différents objets nécessaires aux agriculteurs. Avec la mécanisation
Où est-il visible : Au village du " Bouchaud " sur le domaine public route d'Anzême
https://creuse.meconnu.fr/le-travail-a-ferrer-du-bouchaud